L’enseignant-chercheur Obrillant Damus, auteur de plusieurs essais sur des disciplines différentes, inextricablement liés à Haïti, vient d’être honoré dans un concours international organisé par l’Unesco en 2015 sur les connaissances autochtones. Il a accepté de répondre aux questions du journal Le Nouvelliste.

Licenciée en philosophie, elle enseigne cette discipline en classe terminale. Elle nourrit une passion pour la chanson et la philosophie. Asaphe Micaelle Jean Louis, connue sous le nom d’artiste AZ, a accepté de répondre aux questions du Nouvelliste.

En mai 2016, C3 Edition publiait « Haïti : changer le cours de l’histoire » de l’historien et professeur à l’Université d’État d’Haïti, docteur en Histoire, Watson Denis. Il a répondu à quelques questions pour Le Nouvelliste.

Au cours du mois de mai 2016, à C3 Éditions, l’historien et professeur à l’Université d’État d’Haïti, docteur en histoire, Watson Denis vient de publier « Haïti : Changer le cours de l’histoire ». Il a répondu à quelques questions pour Le Nouvelliste. C’est la première partie de l’entrevue.

Du 24 novembre 2015 au 19 janvier 2016, le jeune chercheur haïtien Ricarson DORCE était au Canada en vue de participer à une série d’activités culturelles de promotion et de vulgarisation organisée autour de l’ouvrage collectif « Haïtiennes.

Née en Haïti, Rose-Esther Guignard émigre en France dès l’âge de 13 ans. Française et haïtienne, elle s’attache avec force à sa culture. Après avoir obtenu trois prix pour la création de «Tezin», inspirée du conte haïtien du même nom, Rose-Esther a réalisé une formation de comédienne au Conservatoire d’Art Dramatique Erik Satie à Paris. Elle a accepté d’être interviewée par Le Nouvelliste.

Née en Haïti, Rose-Esther Guignard émigre en France à l’âge de 13 ans. Française et Haïtienne, elle s’attache avec force à sa culture . Après avoir obtenu trois prix pour la création de “Tezin”, inspirée du conte haïtien du même nom , Rose-Esther a bénéficié d'une formation de comédienne au Conservatoire d’Art Dramatique Erik Satie à Paris. Elle a été interviewée par Le Nouvelliste.

Il y a quatre ans, Giscard Bouchotte a lancé sa propre organisation, Chantiers du Sud, une plateforme d'ingénierie culturelle dont il est le directeur. Connu comme commissaire d'exposition notamment depuis "Haïti Royaume de ce monde", cette exposition collective qui a fait le tour du monde (Paris, Premier Pavillon de la République d'Haïti à la Biennale de Venise en 2011, Miami Art Basel, Martinique, Haïti), il collabore avec de nombreuses institutions publiques et privées internationales dont Agnès B., l’Institut français, le Musée du Quai Branly, Revue Noire. Membre de AICA Sud Caraïbe depuis 2000, Giscard Bouchotte est titulaire d'un double diplôme en sciences politiques et d'un Master 2 en gestion des organisations culturelles à l’Université Paris-Dauphine. Ses récentes expositions ("Somewhere in paradise", "Périphériques" en 2013, "Nos histoires" sur la photographie émergente en Haïti, 2014) témoignent de la dimension régionale et internationale de ses initiatives. La 1ère Nuit Blanche de Port-au-Prince est la plus récente.

Dominique Batraville, lors la « Fiesta del Fuego » qui s’est tenue à Santiago de Cuba, du 3 au 9 juillet dernier, a interviewé le professeur Edgard Gousse, qui a été vice-président de ce Festival international de Poésie durant pas moins d’une dizaine d’années. Edgard Gousse a participé cette année à Livres en folie en tant qu’auteur en signature. (Voici la deuxième partie de l’entrevue.) .

D.